Rival Sons Paris 26 et 27 10 2023 (WIP

Coming soon... Et non, désolé, pas de bande annonce et teaser cheap...

Comment en suis-je arrivé là ? Rock Hard pour partie et une amie et son fils également, le jeune homme étant musicien, guitariste d'abord puis batteur. D'abord à l'école Atla, il fait ensuite feu de tout bois et cumul autant que possible cours et expériences. Cela le conduit à se retrouver en relation avec des musiciens du conservatoire du Blanc-Mesnil (oh surprise, dans le 9-3 on ne fait pas que dans le rap). Avec le Combo, c'est deux concerts par an. Comme la famille soutient l'apprenti musicien, on va assister au 1er concert (25 11 2017, j'ai la photo de la set list sur le bureau de l'ordi ). C'est rock le Combo, beaucoup plus que ce que j'imaginais. Avec deux bons guitaristes...et un bon batteur (mais je suis pas objectif ). Et un titre joué qui m'interpelle. C'est qui ? Rival Sons me souffle-t-on... Keep on swinging (Head on)... On y retourne à chaque fois ou presque (même quand il y a roller le lendemain) et à chaque fois ou presque le groupe joue un titre de Rival Sons. La chanteuse et le guitariste chef du Combo sont fans.
Arrive Covid. Le temps que chacun s'accoutume et s'organise, notre amie nous apprend que, stay tuned, surprise à venir. La chanteuse a en effet mis en place une chorale en distanciel et les participants doivent apprendre Shooting star et s'enregistrer comme ils/elles le peuvent, qui dans son salon, qui dans sa salle de bain, etc. C'est notre apprenti musicien qui assure les instruments (guitare-basse-batterie). Un dimanche après-midi vers la fin du confinement, le titre enregistré/mixé est publié sur Youtube et les réseaux sociaux.
L'histoire se reproduit dès que les concerts peuvent reprendre. Combo, reprise, etc. Jusqu'à il y a quelques mois lorsque notre amie nous annonce Rival Sons à l'Olympia, ça vous branche. Oui, of course.

Surprise supplémentaire quelques jours avant le concert, nouveaux message. Découverte fortuite de l'organisation à Gibert truc d'une séance de dédicace, gratuite (mais si t'as acheté CD et/ou vinyle chez eux c'est mieux ) mais faut s'inscrire. J'y vais la veille pour faire des "courses" et donc le jeudi 26 à 18h. Tout se passe dans la salle du bas avec Lightbringer et Darkfighter en fond sonore. Les musiciens ont l'air fatigués alors on dit bonjour, et on passe. Ils sont trois, le chanteur étant/souffrant/fatigué. Le 3ème c'est le batteur. Le monsieur bonne humeur du groupe. Et pas aveugle avec ça puisqu'il me lâche, goguenard, "Yeah Y&T..."

Il était accompagné par un gars qui filmait et prenait des photos. Et le plus drôle c'est que le lendemain, qui qu'est sur insta (on voit bien le tee shirt...et en plus les zicos sont entrain de signer les deux vinyles de notre amie dont un pour la chanteuse et le guitariste du Combo)

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Et le vendredi 27, direction l'Olympia donc. On se retrouve au Café Caumartin, petit troquet à l'ancienne où il n'y a pas beaucoup de place (faut pas arriver tard, surtout lorsqu'il pleut comme le 27/10). Le temps de boire un verre et d'apprécier la déco, rock, avec en plus expo photo sur The Clash, puis direction FG pour manger frites et burger et enfin l'Olympia. Photo traditionnelle de l'entrée avec néons allumés et on entre vite car ça mouille.

LA Edwards ouvre le bal. Du rock US classique tendance mainstream. C'est pas mal, bien exécuté, "énervé" à de rares moments. L'accueil est poli et personne n'insiste au bout des 30 minutes réglementaires. Pause.

Arrive alors Rival Sons. Le chanteur est en forme, même si sa voix déraille parfois, mais pas souvent. Les musiciens sont efficaces et le batteur fait le show. Chacun son look. Ensemble rouge pour le chanteur, le bassiste donne dans le discret/décontracté, toujours avec sa casquette et le guitariste toujours chapeau/lunettes de soleil et look un peu recherché. Le batteur est en mode cool. Il semble être le moteur du groupe et fait le show. Il joue avec le public au moins autant que le chanteur. Le public est chaud. D'ailleurs il fait chaud dans la salle. Nous nous sommes placés côté droit de la scène à une petite dizaine de mètre. Il y a du monde au cm² et peu d'espace pour bouger. La scène est sobre. Un back drop en fond avec le nom du groupe et deux tigres pour l'encadrer, avec une belle symétrie.
Le son est nickel. Les ligths ? Ben c'est l'Olympia. Corrects mais rien de révolutionnaire ou d'original. Les titres s'enchaînent bien. Pas mal de nouveaux morceaux, dont Darkfighter que j'aime vraiment bien, avec un solo de claviers - il y a effectivement un 5ème musicien sur scène, à priori pas encore membre officiel/permanent du groupe, comme souvent dans de nombreux groupe ayant recourt à un musicien additionnel - à la forte influence Deep Purple. Le batteur et le guitariste auront droit aussi à leur solo. Celui du batteur est assez sympa je dois dire. Beaucoup de fans dans le public. Donc ça chante pas mal sur pas mal de titres avec mention spéciale pour... Shooting star. C'est sans doute la 1ère fois que je vois un guitariste jouer sur deux double manche différentes lors d'un concert.
Outre Darkfighter, j'ai particulièrement apprécié Feral Roots et Keep on swinging qui met un terme au concert. Pas de faux rappel, le concert a duré 2 heures. On ne s'est pas ennuyé. A la sortie de la salle nous retrouvons les leaders du Combo.
Petit regret pour moi car le groupe n'a pas joué "Nobody wants to die" pourtant joué sur d'autres dates de la tournée, en Angleterre notamment, mais Darkfighter n'était pas officiellement sorti. Par ailleurs, le groupe semble faire varier un peu la set list d'un concert à l'autre.

La set list.













Prochaine étape le 11/11...

Merci, je reconnais le tshirt.... année 2008 me semble t'il
Et sinon le concert, il était bien ???