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 The Who

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T.N.T.

T.N.T.


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MessageSujet: The Who   The Who EmptyDim 21 Mar 2010 - 13:14

The Who Whopin10

Un groupe ENORME, the who, voici  

LA SAGA DES WHO DANS SON INTÉGRALITÉ

Sur scène depuis le début des années 60, les Who restent un exemple exceptionnel de longévité et ils figurent en bonne place dans le cercle très fermé des prétendants au titre de meilleur groupe de rock de tous les temps. Les Who s'apprêtent à reprendre la route pour une nouvelle tournée aux antipodes. Ils se produiront notamment à Melbourne le 29 mars prochain, lors du Grand Prix d'Australie de Formule 1.
Autre lieu, autre époque : on peut également retrouver les Who sur scène à l'occasion de la reparution du double CD "LIVE AT THE ISLE OF WIGHT FESTIVAL, 1970". Pete Townshend avait alors vingt-cinq ans, Roger Daltrey vingt-six, et le groupe était déjà à son meilleur niveau.

L'histoire des Who débute en 1962 dans un lycée des quartiers ouest de Londres. C'est à cette époque que Pete Townshend et John Entwistle rejoignent The Detours, un groupe dont fait partie Roger Daltrey. Début 64, après avoir vu à la télévision un autre groupe qui s'appelle également The Detours, ils changent de nom une première fois et deviennent The Who. Ils changent aussi de batteur et accueillent Keith Moon, un inconnu qui était brusquement monté sur scène pour s'emparer de la batterie au cours d'un de leurs concerts.
En mai 64, les Who sont pris en charge par le publicitaire Bernie Meaden qui leur donne leur image "mod" et décide de les rebaptiser The High Numbers. C'est sous ce nom qu'ils se forgent une réputation dans le circuit des clubs londoniens et qu'ils enregistrent un premier titre, "I'm the face". Il paraît en juillet 64 et passe relativement inaperçu.

Après l'échec du single "I'm the face", les High Numbers sont repris en main par deux anciens producteurs de cinéma, Kit Lambert et Chris Stamp. De nouveau, ils changent d'identité. Ils redeviennent les Who, mais cette fois-ci définitivement. Attirés par le pop-art, ils s'impliquent totalement dans le courant "mod" dont ils deviennent les représentants musicaux. La violence qu'ils montrent sur scène reflète parfaitement une certaine violence des rues, engendrée par l'opposition entre les "Mods" et les "Rockers".
Leur premier single, "I can't explain", parait en février 65. C'est un succès immédiat, renforcé par leur passage dans le show télévisé "Ready Steady Go". Les Who, qui n'étaient jusque-là qu'un groupe semi-professionnel, passent professionnels et le bassiste John Entwistle peut enfin quitter le service des impôts où il travaillait depuis deux ans.

Pour véritablement décoller, les Who devront attendre octobre 1965 et la sortie de leur troisième single, "My generation". Ce titre, qui devient le morceau de bravoure de leurs spectacles, s'impose comme l'hymne de la jeunesse britannique. "MY GENERATION" est aussi le titre de leur premier album, qui sort en décembre 65. Il leur permet d'asseoir définitivement leur popularité en Angleterre et sur le continent européen.
Le succès est là, mais pas la réussite financière. En effet, une grande partie de leurs cachets passe dans le remplacement de leur matériel qu'ils détruisent systématiquement sur scène.

Les Who publient leur deuxième album, “A QUICK ONE”, en décembre 66. Pete Townshend signe quatre des dix titres que l'on trouve sur le disque. Il propose des textes souvent ironiques et il aborde une forme artistique plus élaborée que la simple chanson. Le titre principal, "A quick one, while he's away", est baptisé mini-opéra. Il préfigure en neuf minutes ce que sera “Tommy” quelques années plus tard. Côté singles, “Happy Jack” fait une première percée aux Etats-Unis et c’est d’ailleurs sous ce titre que le deuxième album des Who y est proposé.
Pour consolider ce succès, une longue tournée américaine est organisée. Elle culmine lors de leur apparition au Festival de Monterey, le 18 juin 67. Le 23 août, le saccage de l’hôtel où Keith Moon fête son vingtième anniversaire vient apporter un bémol à ce triomphe et renforcer la réputation de violence qui accompagne le groupe.

En décembre 1967, “THE WHO SELL OUT” est un album plutôt original. Il est ponctué de jingles empruntés à Radio London, la première station-pirate à avoir programmé le groupe. "The Who sell out" propose des titres de très grande qualité, à l’image de “I can see for miles”, un des premiers classiques de l’époque psychédélique.
En septembre 68, les Who tournent de nouveau aux Etats-Unis. Ces concerts donneront l’album “MAGIC BUS - THE WHO ON TOUR”, réservé au départ au seul marché américain. Des deux côtés de l’Atlantique, le groupe s'est forgé une solide réputation scénique bâtie autour d’un show fabuleux que pourront apprécier, entre autres, les spectateurs des festivals de l’île de Wight et de Woodstock.

En mai 1969, le public d'abord surpris réserve à “TOMMY” un accueil enthousiaste. Présenté sous la forme d’un double album, l’opéra-rock “Tommy” se classe N°2 en Angleterre et N°4 aux Etats-Unis. Impressionné par l'album “S.F. Sorrow” des Pretty Things, le leader des Who en a repris la recette, mais avec plus de réussite. Le single “Pinball wizard” est un tube et “Tommy” devient un des piliers de la rock-music. C’est l’album le plus important et le plus novateur depuis “Sgt. Pepper's Lonely Hearts Club Band” des Beatles. C’est le chef-d’œuvre de Pete Townshend.  
Dans un  premier temps, "Tommy" donnera lieu à trois adaptations successives : une version symphonique, un ballet et un film dirigé par Ken Russell. Mais pour l'instant, c'est la version originale qui prend une place importante dans les spectacles du groupe. Ils la joueront dans son intégralité à Londres, à New York et à Paris, au Théâtre des Champs-Elysées. Grâce à “Tommy”, les Who viennent de rejoindre le club - encore très fermé à l’époque - des millionnaires du rock.

En mai 1970,  “LIVE AT LEEDS” peut être considéré comme un album de transition, mais c'est aussi un très bon exemple de rock intelligent. Pete Townshend doit alors travailler dur pour composer du matériel digne de succéder à “Tommy”. Dans un premier temps, il écrit un autre opéra-rock intitulé “Lifehouse”, dont les répétitions sont programmées pour le printemps 71. Au dernier moment, le projet est revu à la baisse.
Prévu comme un double album, "Lifehouse" se transforme en un album simple qui est rebaptisé "WHO'S NEXT". En termes de ventes, son succès dépasse celui de "Tommy". En France, c'est leur premier disque d'or. “Who’s next” est l’album qui introduit le synthétiseur dans leur musique. On y remarque deux titres qui s'imposent sur les ondes des radios, "Baba O'Riley" et "Behind blue eyes", mais aussi "Won't get fooled again", le monument avec lequel ils terminent dès lors tous leurs concerts. Aujourd'hui, "Won't get fooled again"illustre le générique de la série télévisée "Les Experts à Miami".

1972 est une année où Pete Townshend déborde d’activités. Il  propose son premier album solo, “WHO CAME FIRST”, puis il remixe et réarrange personnellement les classiques des Who que l'on retrouve sur la compilation “MEATY, BEATY, BIG & BOUNCY”.
En même temps, il met les bouchées doubles pour terminer une nouvelle œuvre ambitieuse, “QUADROPHENIA”. L'album paraît en novembre 73. “Quadrophenia” raconte l’histoire de Jimmy, un jeune “mod” qui n'arrive pas à s'affirmer et qui rencontre beaucoup de problèmes avec son entourage. Quatre aspects de sa personnalité sont analysés, chacun étant représenté par un des membres du groupe. Là encore, un film accompagné de sa bande originale va suivre, mais seulement en 1979.

En octobre 1974, les Who proposent la compilation  “ODDS AND SODS”. C’est un recueil d’inédits et de raretés qui dormaient dans les caves de Track Records, le label du groupe, et c'est John Entwistle qui les a choisis. Malgré son aspect quasi documentaire, l’album marche très fort aux Etats-Unis.
A ce moment, les Who ne tournent plus, accaparés par leurs carrières solos respectives. Ils se décident tout de même à reprendre la route ensemble en octobre 1975 pour assurer la promotion de leur nouvel album, “THE WHO BY NUMBERS”. Mais Pete Townshend n’a plus trop envie de se produire sur scène. Cela fait beaucoup de bruit et il commence à avoir de sérieux problèmes auditifs.

Le 25 mai 78, les Who donnent leur dernier concert avec Keith Moon aux studios Sheperton de Londres. Le show servira pour le film “The kids are alright”. Il faut attendre le mois d’août suivant pour découvrir leur nouvel album, “WHO ARE YOU”. Malgré des critiques mitigées, c’est une belle réussite commerciale, surtout aux Etats-Unis où le groupe reste une attraction énorme.
Le 8 septembre 78, à l’âge de trente et un ans, Keith Moon meurt d’une overdose de médicaments, des pilules qu’il prenait pour combattre l’alcoolisme. Le rock perd à la fois un de ses meilleurs batteurs et une personnalité excentrique unique.
Malgré ce coup dur, Roger Daltrey, John Entwistle et Pete Townshend décident de continuer. Pour remplacer Keith, ils font appel à Kenny Jones, l’ancien batteur des Small Faces. Tout aussi enthousiaste que le précédent, un nouveau groupe apparaît sur scène, augmenté d'une section de cuivres et de John "Rabbit" Bundrick, l’ancien clavier de Free.

Le film “THE KIDS ARE ALRIGHT” sort en juin 79. Il retrace l’histoire des Who au moyen d'extraits d’émissions de télévision et de concerts filmés. A la fin de l'année, les Who sont le troisième groupe, après les Beatles et le Band, à faire la couverture du magazine "Time". L'article qui leur est consacré fait suite à un drame. Le 3 décembre 79, une bousculade au début de leur concert au Coliseum de Cincinnati a fait onze morts parmi les spectateurs. Les autorités, qui craignaient d'être débordées, n'avaient pas voulu que le concert soit annulé. Ils n'avaient donc rien dit aux musiciens qui n'ont appris le drame qu'à la fin du spectacle.
En avril 1980, Pete Townshend connaît un beau succès avec son album solo "EMPTY GLASS". Il retrouvera les Who en mars 1981 pour "FACE DANCES", leur premier album enregistré avec le batteur Kenny Jones.

C'est en mai 1981 que les Who ont publié "Face dances", leur premier enregistrement avec le batteur Kenny Jones. Ils reviennent le 4 septembre 82 avec "IT'S HARD", leur dixième album studio. Quelques jours plus tard, en plein concert, Roger Daltrey annonce la fin du groupe. On retrouvera l’atmosphère de la tournée qu'ils viennent d'entamer sur le double album “WHO’S LAST” en novembre 84. Pete Townshend fait alors part de son intention de se consacrer à la composition, à la production, et à l’archivage de son travail en solo ou avec le groupe. Le 16 décembre 84, au cours d'une conférence de presse, c'est lui qui annonce officiellement la fin des Who.
Cette déclaration coïncide avec la sortie de la compilation “THE SINGLES”. On y trouve seize titres qui résument l’histoire du groupe de 1966 à 1981. Il n’y a là que des succès, pourtant aucun d’entre eux n’a été N°1. Leurs meilleurs réussites ont été “Happy Jack”, qui s'est classé N°3, ainsi que "My generation” et “I’m a boy” qui ont atteint la deuxième place des hit-parades.

Après la reformation ponctuelle des Who le 13 juillet 1985 pour le Live Aid, Pete Townshend réapparaît en solo avec le single “Face the face”, extrait d’un projet ambitieux et de très bonne facture, “WHITE CITY”. Il tourne alors avec un groupe occasionnel, Deep End, où l'on remarque David Gilmour, le guitariste de Pink Floyd. Leur seule production commune sera l’album “DEEP END LIVE !”, en octobre 86.
Puis on retrouve les Who au grand complet en février 88 à Londres, sur la scène du Royal Albert Hall, où la British Phonographic Industry leur décerne un prix spécial pour leur contribution exceptionnelle à la rock-music. A cette occasion, ils interprètent "My generation", "Who are you" et "Substitute". Parallèlement, on publie “WHO’S BETTER, WHO’S BEST”, une compilation qui reprend dix-huit classiques incontournables du groupe.

Tout aussi importants que la compilation "Who's better, who's best", il faut citer les deux albums doubles de Pete Townshend : “SCOOP”, paru en 83, et “ANOTHER SCOOP”, son complément de 89. Ces deux disques rassemblent les maquettes originales des titres les plus prestigieux des Who. Elles ont été enregistrées dans le studio personnel de Pete et c’est lui qui les chante. Sans vouloir minimiser le rôle des trois autres Who, il faut bien reconnaître que ces versions ne sont guère éloignées des chansons définitives que nous connaissons.
On en arrive alors en juin 89 à la sortie d’un autre album de Pete Townshend, rassemblant cette fois-ci du matériel original, “THE IRON MAN”. Ce concept-album a été réalisé avec les participations de Nina Simone et John Lee Hooker, mais surtout, on y trouve deux nouveaux titres enregistrés par les Who : "Dig" et la reprise de "Fire", le classique d'Arthur Brown.

En 1989, les Who renaissent de leurs cendres et, avec la complicité de Simon Phillips à la batterie, ils remontent sur scène pour célébrer leur 25ème anniversaire. Baptisée “The kids are alright”, la tournée est un énorme succès. Chaque concert dure trois heures et quarante minutes. Les Who interprètent d’abord “Tommy”, puis, après un court intermède réservé à Pete Townshend, ils reviennent jouer leurs plus grands succès. Cette tournée donnera le double CD, “JOIN TOGETHER”, qui paraît en mars 1990.

Au début des années 90, les Who se manifestent essentiellement au travers de concerts de charité, d’albums en public ou de rééditions.
“Il n’y a pas une chance sur un million que les Who refassent un album”, déclare à ce moment Pete Townshend. “Nous sommes totalement asséchés créativement. Je ne me dispute plus avec Roger. Nous communiquons enfin sur la base de l’acceptation de nos fragilités. C’est un grand chanteur, mais il est naïf. Nous avons perdu le pouvoir et Roger Daltrey n’est plus un personnage important du rock, mais il ne le sait pas. Moi je le sais, c’est pour ça que j’ai si mal aux oreilles”.
On connaît une des causes des problèmes auditifs de Pete Townshend. En effet, les Who figurent dans le livre Guinness des Records pour avoir donné le concert le plus assourdissant. C'était à Londres en mai 1974 dans le stade du F.C. Charlton.  Mesuré officiellement, le volume sonore avait atteint ce soir-là cent trente décibels !

1993 apporte une cinquième version de “Tommy”, théâtrale cette fois-ci. Présentée à Broadway, elle s'ajoute à l’opéra-rock original, à sa déclinaison symphonique, au ballet et au film. Le spectacle est récompensé par cinq Tony Awards, l’équivalent des Grammies pour le théâtre. A la suite de ce succès, la troupe de “Tommy” s’embarque pour Londres où, sous la direction de George Martin, elle réalise un enregistrement qui paraît sous le titre : “THE WHO’S TOMMY / ORIGINAL CAST RECORDING”.
Au même moment, en juillet 93, Pete Townshend publie son œuvre la plus complexe à ce jour, “PSYCHODERELICT”. C’est une suite enchaînée de chansons et de dialogues, une comédie musicale radiophonique qui reprend les thèmes de “Lifehouse”, l’opéra-rock abandonné en 70 et qui aurait dû faire suite à “Tommy”.

En février 1994, Roger Daltrey entame une grande tournée américaine baptisée “Daltrey sings Townshend”. Le soir de la première, au Carnegie Hall de New York, John Entwistle et Pete Townshend le rejoignent pour une version de “Join together”, mais les choses ne vont pas plus loin.
Une grande opération de réédition de l’œuvre des Who commence officiellement en juillet 94 avec la parution du coffret “30 YEARS OF MAXIMUM R & B”. En quatre CDs et soixante-dix-neuf titres, il s’agit d’un tour d’horizon assez complet de leur carrière. En février 95, c’est l’album en public “LIVE AT LEEDS” qui est réédité, vingt-cinq ans après sa sortie originale. Pour l’occasion, le nombre des titres qui le composent passe de six à quatorze. Puis on fait la même chose avec "A QUICK ONE", "THE WHO SELL OUT" et “WHO’S NEXT”, tous augmentés de nombreux inédits ou raretés.

Au printemps 1996, Roger Daltrey annonce la reformation des Who pour un concert unique, le 26 juin suivant à Londres. Ce concert en plein air, à Hyde Park, est l'occasion pour le groupe de jouer pour la première fois en public l'intégralité de "Quadrophenia". Pour la circonstance, ils sont accompagnés par Eric Clapton, Bob Dylan, Alanis Morissette, et c'est Zak Starkey, le fils de Ringo Starr, qui occupe le siège de Keith Moon.
En décembre 1998, à l'issue d'un vote organisé par le magazine "Guitar", John Entwistle est élu "bassiste du siècle" devant John Paul Jones (de Led Zeppelin) et Paul McCartney.

Décembre 99 voit enfin l'aboutissement de "Lifehouse" qui est d'abord proposé dans une version radio diffusée par la BBC. En février 2000, c'est un coffret de six CDs, "THE LIFEHOUSE CHRONICLES", qui retrace l'histoire de ce projet depuis 1970 jusqu'à sa réalisation.
Le 27 novembre 2000, les Who sont à Londres pour un concert de charité avec les participations de Bryan Adams, Eddie Vedder, Nigel Kennedy, Paul Weller et Noel Gallagher. On en retrouvera l'essentiel sur l'album "LIVE AT THE ROYAL ALBERT HALL".
C'est la dernière manifestation discographique de John Entwistle qui décèdera d'une crise cardiaque le 27 juin 2002 à Las Vegas, à la veille d'une nouvelle tournée américaine. Le bassiste des Who était âgé de cinquante-sept ans. Deux dates seulement seront annulées et le groupe assurera les concerts initialement prévus avec le renfort du bassiste Pino Palladino.

En 1990, Pete Townshend avait déclaré : "Il n'y a pas une chance sur un million que les Who refassent un album." Cette phrase, il a dû l'oublier, car à la fin de l'année 2003, il décide de retourner en studio avec Roger Daltrey pour préparer un nouvel album dont le titre provisoire est "WHO 2". Deux titres extraits de ces sessions, "Real good looking boy" et "Old red wine", sont inclus dans la compilation "THEN AND NOW, 1964-2004". Elle paraît en mai 2004 et célèbre les quarante ans de carrière du groupe.

Le 2 juillet 2005, on retrouve les Who à Londres, où ils participent au Live 8. L'année suivante, ils publient "ENDLESS WIRE". C'est leur onzième album studio, le premier depuis "It's hard", qui était paru vingt-quatre ans plus tôt. Les sessions qui se sont déroulées essentiellement dans le studio de Pete Townshend, ont duré quatre années. Et de nouveau, le groupe reprend la route, toujours avec Pino Palladino à la basse et Zak Starkey à la batterie.

L'histoire des Who est une histoire sans fin. Alors que le double CD "LIVE AT THE ISLE OF WIGHT FESTIVAL, 1970" vient de reparaître, ils sont toujours sur la route. Le 21 mars marquera le début d'une nouvelle tournée qui les mènera en Nouvelle-Zélande et en Australie.
Depuis longtemps, leur popularité a dépassé le cercle de leurs admirateurs les plus fidèles pour atteindre le grand public. C'est ainsi que le téléspectateur qui regarde sa série policière préférée, "Les Experts", ne pourra échapper à leur musique. Si l'épisode se passe à Miami, il entendra "Won't get fooled again";
si c'est à Las Vegas, il aura droit à "Who are you", et si c'est à Manhattan, il découvrira peut-être "Baba O'Riley".
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MessageSujet: Re: The Who   The Who EmptyDim 21 Mar 2010 - 18:57

Merci de nous faire les topos des groupes!

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MessageSujet: Re: The Who   The Who EmptySam 14 Sep 2019 - 22:54

13 ans après "Endless Wire", le groupe va publier son douzième album "Who", le 22 novembre prochain.
L'album comporte 11 chansons enregistrées entre Londres et Los Angeles au printemps-été 2019 et co-produit par Pete Townshend & D. Sardy.
La pochette de l'album est signé Sir Peter Blake, célèbre artiste à qui l'on doit celle de "Sgt. Pepper's Lonely Hearts Club Band"...

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01. All This Music Must Fade
02. Ball And Chain
03. I Don’t Wanna Get Wise
04. Detour
05. Beads On One String
06. Hero Ground Zero
07. Street Song
08. I’ll Be Back
09. Break The News
10. Rockin’ In Rage
11. She Rocked My World

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MessageSujet: Re: The Who   The Who Empty

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